Ben : Quand on est constamment dans l’anticipation, on multiplie la prise de décisions complexes, et la probabilité que le scénario imaginé se réalise est très faible. Mais, en plus, tout ce qui survient dans le moment nous échappe.
[MUSIQUE]
Annonceur : Bienvenue à « Une vaste expérience », un balado de TDAM Talks. Vous écoutez le dernier d’une série de trois épisodes sur les marchés boursiers, mettant en vedette Jose Alancherry, Ben Gossack et Damian Fernandes. Cet épisode s’intéresse à l’existence d’un supercycle mondial. Aussi, Damian et Ben en profitent pour préciser si le marché s’est comporté comme prévu en 2024 ou s’il a réservé des surprises.
Damian : Mais, ce qui me frappe surtout au moment d’enregistrer ce balado, c’est de voir que depuis le début de l’année, il y a huit mois, la croissance est au point mort en Chine.
Jose : Oui, la croissance en Chine est au point mort. De fait, la Chine exporte presque la déflation depuis l’an dernier.
Damian : Tout à fait.
Ben : Elle affiche aussi des capacités excédentaires; je pense entre autres aux véhicules électriques. Mais, les indices boursiers ne reflètent pas nécessairement les économies. Ils ont atteint de nouveaux sommets. Bien souvent, si on les prend individuellement, par exemple, l’indice DAX en Allemagne, les sociétés technologiques n’y sont pas nombreuses.
Jose : Oui, c’est le cas.
Ben : Si on regarde les services financiers européens, je pense aux banques, aux compagnies d’assurance, au secteur industriel, aux banques ou aux sociétés d’assurance japonaises, sans oublier l’Australie, les occasions abondent. Parfois, les indices, tout dépendant de leur composition, peuvent brouiller la réalité. Mais, en tant que gestionnaires mondiaux, on arrive à dénicher une foule d’occasions. Et on continue de trouver des nouvelles façons de tirer profit des tendances à long terme qui se manifestent actuellement.
Jose : Vous avez mentionné le secteur industriel. Est-il susceptible lui aussi d’entrer dans un supercycle qui s’étendrait à l’ensemble de la planète?
Ben : Tout à fait. Et ça pourrait s’expliquer par les tendances de relocalisation aux États-Unis, par les dépenses en défense, par l’électrification. On en discutait justement aujourd’hui. Certains estiment que l’électrification se limite aux véhicules électriques. Mais, tout va y passer.
Les thermopompes vont remplacer les climatiseurs. Je pense à l’automatisation des usines. Ça va toucher aussi les convertisseurs AC/DC, les activités internes des entreprises de services publics.
Je pense aussi aux énergies renouvelables. Diverses sources d’énergie vont alimenter les réseaux électriques. Il va falloir beaucoup d’équipement pour en faire la gestion et la conversion. Les occasions sont nombreuses. Ces entreprises fantastiques peuvent être installées au Japon, aux États-Unis ou en Europe.
Compte tenu de notre mode d’affectation du capital, on ne va pas tant s’intéresser à une société française parce que son ratio cours-bénéfice est faible, mais plutôt parce que, selon nous, elle va s’avérer exceptionnelle par rapport à une certaine tendance à long terme.
Damian : Oui. Après la pandémie, partout dans le monde, entre autres en Europe, aux États-Unis et au Canada, on a observé une reprise incroyable. On peut débattre de la pertinence d’adopter une stratégie à long terme, à savoir si la relance doit être soutenue au prix de dépenses qui vont entraîner un déficit.
Mais cette relance a misé entièrement sur les dépenses en infrastructures ou dans la nouvelle économie, notamment pour faire circuler les véhicules électriques. Qui en bénéficie? Ce sont les sociétés industrielles qui contribuent généralement à améliorer les infrastructures.
Il ne faut pas compliquer les choses. On cherche des entreprises dont les liquidités sont sous-évaluées. Il s’agit de voir dans quoi le gouvernement investit massivement. Et l’argent va dans les poches de ces sociétés industrielles.
Jose : On vit de plus en plus dans un monde numérique. On n’imagine pas en tenant un téléphone la quantité d’infrastructures physiques nécessaires pour poser une question au logiciel d’OpenAI et lancer le calcul...
Damian : Combien de capacités de calcul ça prend... Exactement.
Jose : ...pour obtenir l’information sur votre téléphone. Pour bien des gens, tout ça est un peu nébuleux. Ça explique peut-être pourquoi on n’en parle pas autant. Même maintenant, la plupart des appels qu’on reçoit semblent concerner les géants comme NVIDIA, Microsofts et les grandes capitalisations technologiques.
Quoi qu’il en soit, la discussion tire à sa fin et huit mois, se sont écoulés. L’année s’est-elle déroulée comme vous l’aviez prévu? Quelles sont les principales surprises, bonnes ou mauvaises, que vous n’attendiez pas?
Et quels sont les risques ou les occasions à surveiller selon vous? Comment les choses risquent-elles d’évoluer, croyez-vous, d’ici le reste de l’année?
Ben : Je préfère y aller un jour à la fois.
Jose : Un jour à la fois, OK.
Ben : Jose, vous et moi on veut apprendre à jouer au golf. Ça pourrait bien nous prendre toute la vie. Ce qu’il faut comprendre, c’est que ce sport est exigeant mentalement, tout comme l’investissement, et qu’il faut demeurer dans le moment présent.
Au golf, il faut surtout surveiller son élan et se concentrer au moment de frapper la balle, au lieu d’imaginer où elle risque d’atterrir, quoi faire au coup suivant et d’anticiper les cinq prochains trous.
À propos du marché, on me demande souvent ce qui s’en vient. Qu’est-ce qui s’en vient? Qu’est-ce qui s’en vient? Il y a tellement de réponses et d’indices devant soi.
Quand on est constamment dans l’anticipation, on multiplie la prise de décisions complexes, et la probabilité que le scénario imaginé se réalise est très faible. Mais, en plus, tout ce qui survient dans le moment nous échappe.
En réponse à l’autre volet de votre question, pour ce qui est des surprises, compte tenu de notre style, en janvier, les gagnants de 2023 devraient dénouer leurs positions, tandis que les titres moins performants vont briller. La période n’a pas été facile pour nous du point de vue du rendement. Le scénario prévu ne s’est pas produit, et ça m’a surpris.
Mais, je le répète, je n’ai aucune idée de ce que l’avenir nous réserve. Et je l’accepte. Je pense vraiment qu’il faut se concentrer sur l’instant présent. Vous seriez surpris du nombre d’indices et de réponses qu’on y trouve.
Jose : Votre phrase en dit long.
Damian : Ça ne donne rien de courir deux lièvres à la fois. On s’attire des ennuis. On est ici à cette table à la fin d’août, et ce qui m’étonne le plus, c’est de voir qu’on était optimistes. Mais peut-être pas assez.
Pendant qu’on est bien assis, voilà que l’inflation recule plus rapidement que prévu. La croissance économique tient bon, malgré un resserrement de 500 points de base. Le PIB réel progresse de 3 % aux États-Unis. Ma surprise vient de la résilience observée. Ç’a en dit long sur sa vigueur.
Comme l’a souligné Ben, on n’essaie pas de jouer les devins en annonçant en grande pompe nos prévisions sur l’évolution du marché. On ne fait jamais ça. Il faut s’attarder à la réalité du marché. Actuellement, d’ici la fin de 2025, le marché anticipe huit réductions de taux. On peut supputer s’il y en aura quatre ou huit, mais, assurément, il y aura des réductions.
À moins que les premières demandes d’assurance-emploi n’augmentent, la croissance économique n’a rien à craindre. Les bénéfices continuent de progresser. Il s’agit simplement d’investir selon la réalité actuelle du marché et de s’adapter quand des signes le justifient. Et je pense...
Jose : En fait, c’est intéressant. J’ai toujours eu l’impression qu’on allait à contre-courant. Même en parlant aux troupes sur le terrain, on annonçait un marché haussier. Et ça remonte déjà à un certain temps l’an dernier. Et maintenant, vous estimez qu’on n’y croyait pas assez...
Damian : On avait bien affaire à un marché haussier. Mais, on n’y croyait pas.
Jose : Cette résilience et cette vigueur viennent encore renforcer le mouvement. Et on dirait qu’il y a encore beaucoup de capitaux en attente d’investissement. Est-ce que ça pourrait constituer à vos yeux un léger vent favorable, en quelque sorte?
Ben : Oui. On pense que le marché haussier remonte à l’été 2022. Ça dure donc depuis plus de deux ans. Quand on le signale aux clients, ils craignent que ça se termine bientôt.
Je le répète : il faut se concentrer sur le présent. Je ne sais pas combien de temps ce marché haussier va se poursuivre. Certains peuvent durer dix ans. Mais, on a l’impression que bien des investisseurs boudent le marché boursier. Ça paraît dans le niveau des liquidités.
Et, de fait, on a probablement connu un repli de 10 % par rapport aux sommets d’août. Et, comme je l’ai dit, on était à 1 % des sommets précédents. Il est donc très possible que d’autres reculs attirent lentement les liquidités. On ne veut pas que les investisseurs injectent soudainement tous leurs fonds dans les marchés.
Il existe d’ailleurs d’autres options que les marchés. Je pense aux titres de créance à rendement élevé, à certains placements immobiliers. On peut même se laisser tenter par l’immobilier commercial. Il faut surtout que les liquidités retournent lentement vers les actifs à risque. Ça pourrait attiser l’envie des investisseurs sur la touche.
Jose : Tout à fait. Fantastique. Voilà une discussion fascinante. Un dernier mot... L’été est terminé. Les travailleurs rentrent au boulot. Vous avez eu beaucoup de temps pour réfléchir. Vous êtes parti en vacances.
Avez-vous des livres ou des balados à nous recommander? Auriez-vous des pépites pour nos auditeurs? Des idées, des réflexions qui vous sont venues cet été et que vous aimeriez partager?
Ben : Deux livres. J’en ai fini un. Et je suis à la moitié du deuxième.
Jose : Parlez-moi du deuxième.
Ben : C’est une biographie de Léonard de Vinci rédigé par Walter Isaacson.
Damian : C’est nouveau?
Ben : Non. C’est paru il y a un certain temps. C’est un ouvrage fascinant. Je vous le recommande. Je craignais que ce soit une lecture aride, mais j’ai dévoré les chapitres. L’auteur aborde une foule d’aspects. De Vinci était tellement talentueux et curieux de tout.
L’autre livre raconte un scandale entourant des bouteilles de vin associées apparemment à Thomas Jefferson. Le milieu vinicole est fasciné. Thomas Jefferson était un passionné. Il voulait créer une région viticole aux États-Unis. Tout ce qui concerne Thomas Jefferson attire l’attention.
Dans les années 1980, des maisons de vente aux enchères, comme Christie’s et Sotheby’s, ont vécu un vent de folie. On proposait ces bouteilles apparemment associées à Thomas Jefferson. Étonnamment, il faut savoir que pour les biens de luxe : œuvres d’art, montres ou voitures, on peut souvent remonter aux propriétaires. Mais, pas dans le cas du vin...
Jose : Vous parlez de la provenance...
Ben : Qui a déjà dégusté un Château d’Yquem de 1850? On découvre comment se faisait l’embouteillage, une opération qui ne se déroulait pas nécessairement chez le producteur. Un marchand pouvait s’en occuper. C’est une lecture fascinante. Et, à la fin, on se demande s’il s’agissait ou non d’une fraude.
Jose : Connaît-on la réponse?
Ben : On peut se faire sa propre idée, mais personne n’a de preuves. C’est intéressant de découvrir le monde du vin et ce qui le distingue de celui des œuvres d’art, des montres, des voitures ou des immeubles de luxe.
Jose : Un investissement dans des biens non durables, en quelque sorte.
Ben : Oui.
Damian : Ben, non, je vais devoir vous l’emprunter. À moins que ce ne soit une version numérique, en quel cas vous allez devoir me fournir un accès électronique. Je viens de refermer un livre qui m’a fasciné ces derniers temps. Je veux parler des souffrances en Europe de l’Est, notamment en Ukraine.
Je suis tombé sur cet excellent bouquin intitulé « Goodbye, Eastern Europe ». On remonte dans l’histoire des peuples slaves d’Europe de l’Est pour mieux comprendre la source des conflits. En s’intéressant aux conflits actuels, il faut se rappeler que notre interprétation est ancrée dans le présent, sans perspective historique sur leur origine.
Malheureusement, qu’on parle de l’Europe de l’Est ou du Moyen-Orient, on pense qu’il existe une solution simple. On se dit « si seulement on faisait telle ou telle chose...» C’est un point de vue tellement naïf.
Ce livre parle des liens culturels entre Slaves de l’Est et même du Sud. On cherche à expliquer l’engrenage qui s’est enclenché et comment on en est arrivé là. Cet ouvrage est intéressant, ne serait-ce que pour la perspective historique proposée.
Pour en revenir à Ben, les marchés anticipent dans l’immédiat sans tenir compte du contexte. Vous m’avez demandé comment on avait atteint ce niveau-là. C’est parce que l’inflation a reculé et que les bénéfices ont continué de progresser.
Ça nous rappelle qu’aux principales époques de l’histoire, il y a toujours des enjeux plus grands. Je me suis dit que c’était intéressant. Voilà pour mon interprétation plutôt sombre.
Jose : Votre réflexion est à la fois sombre et profonde. Dans le grand ordre des choses...
Damian : Il faut terminer sur une note plus optimiste. Je ne peux pas conclure l’été de la sorte. De fait, j’ai regardé le nouveau film « Deadpool and Wolverine » avec ma femme.
Jose : Vous avez aimé? Les films de superhéros reviennent en force?
Damian : Non, mais c’est du plaisir, et on en redemande.
Jose : On en redemande. Ryan Reynolds est à mourir de rire.
Ben : Oui, oui.
Damian : C’était bon. Voilà un bon film d’été. C’est sanglant, amusant... et sans queue ni tête. J’imagine que Disney cherche à recréer...
Jose : Finalement, certains films font recette.
Damian : Ah, la nostalgie...
Jose : Disney... La souris fait peut-être un retour. On verra bien. On verra bien. Voilà une discussion fascinante. Merci, Ben. Merci, Damian.
Ben : Toujours un plaisir.
Jose : Cette table ronde du troisième trimestre était fantastique. Il reste bien d’autres sujets à discuter pour le reste de l’année. Mais soyez sans crainte, il y aura aussi un résumé la prochaine fois. D’ici là, merci à tous nos auditeurs. Au plaisir.
Damian : Très bien. Merci.
Ben : Merci, Jose.
[MUSIQUE]
Annonceur : Merci d’avoir écouté le troisième épisode du balado « Une vaste expérience ». Vous pouvez entendre les trois épisodes sur le site de GPTD ou dans votre appli préférée. N’hésitez pas à partager ce balado avec des amis ou des collègues, à indique « J’aime », à vous abonner ou à nous faire pat de vos commentaires dans votre appli préférée. Vous pouvez aussi nous envoyer un courriel à l’adresse fournie dans la description.
Animé par Jose Alancherry, ce balado mettait en vedette Damian Fernandes et Ben Gossack. À la production, Marco Vidovich était accompagné de Reuben Creado, Djordje Subotic, Joyce Leung et Bianca Samson.
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